Le Projet P58

L’idée centrale du Projet 58 est de combiner une transformation personnelle (aventure identitaire et incarnation artistique) avec une dynamique de partage au niveau collectif.

Point de départ

pupille2Le point de départ consiste donc à créer des œuvres/projets sur une base initiale écrite, enrichie (photos, poèmes, dessins, chansons…) pour :

  • partager une expérience, une sensibilité ;
  • informer, interroger la conscience du lecteur.

La volonté est de proposer un mode de distribution totalement novateur qui s’éloigne des schémas commerciaux traditionnels et propose une autre façon de lire, respectueuse de chacun… Mais l’objectif reste de pouvoir vivre dignement de cette activité qui nécessite une importante implication en temps, en énergie et en argent.

Autre axe

L’autre axe consiste à utiliser ces œuvres/projets comme des outils de rencontres du grand public et des personnes intéressées par les thèmes et la démarche mise en œuvre… C’est pourquoi je propose pour les premiers des rencontres et des ateliers, et pour les seconds des stages courts.

Les projets

Le projet d’écriture N°1 est finalisé. Il s’intitule « Burn-out : la fin du Rêve ». C’est le récit émotionnel d’un épuisement général. Il comporte une vingtaine de chapitres courts organisés en 3 parties, une douzaine de dessins (silhouettes), autant de poèmes et 1 photo.
Un deuxième projet est en cours d’écriture. Il s’agit de la suite de P1, soit la reconstruction identitaire. Il s’annonce plus long et plus complexe. Il intègre pour l’heure des dessins (silhouettes) et des chansons.
De nombreux désirs de projets existent mais c’est le présent qui décide de l’écriture… Entre la poursuite de l’écriture identitaire, un projet de manifeste, de simples romans ou un récit de voyage…

L’écriture

illustrationCoverL’écriture est pour moi un formidable outil de conscientisation et de partage. Ce qui m’a aussi poussé à écrire est le sentiment que la majorité des livres ne sont pas vivants : ils reproduisent l’empêchement émotionnel qui déshumanise notre monde via une écriture technique, conditionnée et imaginée qui raconte le sentiment mais ignore l’émotion ; trop peu de livres sont libres car ils se soumettent au conditionnement identitaire que l’auteur a subi et entériné (écrit à l’intérieur du système avec les outils de pensée et d’expression enseignés et autorisés par lui) ainsi qu’aux règles économiques du secteur de l’édition ; les récits se restreignent à l’écrit et diminuent leur impact sensoriel.
Enfin, je me sens légitime dans ce que j’écris, dans ce que je crée car je m’appuie sur mon expérience et mon parcours que je considère aujourd’hui comme ceux d’une sentinelle. Mon histoire révèle bien des problématiques et des enjeux de notre époque. Ma sensibilité propose un autre regard sur la réalité. Le Projet 58 est mon nouveau chemin ; il vous invite à la balade…

Si le changement était facile, tout le monde changerait…

La réussite du Projet 58 repose en grande partie sur les lecteurs qui achèteront le livre et lui feront ensuite débuter son voyage de lecture… Sur les lecteurs, qu’ils soient particuliers ou professionnels, qui constitueront cette chaîne de lecture, qu’il s’agisse du livre papier ou du livre numérique… Et bien-sûr sur la rétribution des reconnaissances de lecture et des droits de garde ! Également sur le relais de la presse de cette innovation… Aussi sur l’émergence de personnes ressources qui soutiendront cette dynamique par leurs compétences ou leur renommée… Bref c’est une utopie humaniste. Aussi improbable que nécessaire.
C’est la réussite du premier projet d’écriture qui conditionnera la suite.